LiberSea, le voilier en liberté sur la mer: Warderick Wells

samedi 30 avril 2016

Warderick Wells

Que c'est bien ce parc des Exumas! Cette partie des Bahamas est protégée et vraiment magnifique.

Je vais compléter bientôt avec des magnifiques photos et du texte.
Je suis restreint par l'internet ici.

A suivre

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Le Capitaine et sa monture

Work less Sail More

Partir en voilier, le rêve de bien des travailleurs... Quitter cette routine, métro, boulot, dodo... C’est beau à dire, mais ce n'est pas donner à tous pour le réaliser, pas si facile que ça à l'air! Des amis me disaient qu'il faut être riche pour partir, ouf que vous êtes à côté ceux qui pense comme ça, ça prend surtout de la débrouillardise! Oui il faut rajouter de la détermination également afin de briser cette routine qu'on a laissé glisser dans notre vie et du courage pour laisser ceux qu’on aime afin de vivre l’aventure d’une vie. C'est totalement vrai, j'y ai même perdu une amoureuse et quelques amis, mais le rêve lui, doit continuer.

Comment un homme en vient-il à se priver d’un salaire normal et surtout du confort douillet de sa maison. Pour certain, c'est afin de retrouver cette liberté, celle qu'on avait étant enfant et qu'on a perdu un peu à chaque année jusqu'à devenir esclave de sa paye de la semaine afin de payer les comptes...
Pour d'autre, c'est sans doute pour se rapprocher de la nature, de vivre les trilles de la haute-mer. Vivre le vie de ses ancêtres qui ont affronté la mer pour émigrer au Québec à bord d’embarcation d’époque et dans des conditions qu’on ne peut même pas imaginer!

Moi, je suis un passionné de voile, d'abord en canôt à 12 ans et depuis l’âge de 16 ans, j'ai navigué, au début en planche à voile, en Hobbycat, par la suite en Code 40. Arriva ensuite la famille et mes 3 moussaillons, j’opte pour mon premier quillard, Le Baladin, un Kirby 27.

Les années passent, ma carrière occupait alors une place de premier plan, la voile n’était qu’un de mes passe-temps de weekend tout comme la radioamateur.

Rendu à l’adolescence, mes fistons devenaient autonomes, du moins je le croyais, et atteint de la maladie du pied, j’ai vendu le voilier et acheté un plus gros, le Va Piano, un Hunter 34 1984, plus tard, je le remplace par un plus récent, un 1999, le Va Piano I qui a fait mes beaux jours jusqu’en 2014, moment ou j’ai eu un coup de cœur pour ce Jeanneau 44DS qui m’attendait...

Elle reçut le nom de LiberSea, selon la vraie tradition maritime! Au champagne Monsieur, et sur le pont!

Signifiant, la liberté par la mer, ce nom est facile à prononcer dans toutes les langues, c’était important pour cette douce embarcation qui aura le mandat de me conduire au gré du vent et des saisons partout où je le voudrai bien.

Ambrosse Bierce écrivait dans son livre, le dictionnaire du diable :

"La nature apprend à l’homme à nager lorsqu’elle fait couler son bateau "

LiberSea, le voilier en liberté sur la mer

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Warderick Wells

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